Baisse des APL : La réponse des étudiants de Limoges
Publié : 31 juillet 2017 à 14h23 par Denis Surfys
En 2017, près de la moitié des étudiants Limougeauds vivent avec moins de 400 € par mois et plus de 50% sont obligés de travailler en plus de leur études.
C’est dans ce contexte qu’intervient la baisse de 5€ annoncée par le gouvernement des Aides Pour le Logement.
Fustigeant le matraquage du monde étudiant, les associations représentants les Etudiants Limougeauds tiennent à rappeler les conditions déjà difficiles dans lesquelles la plupart des étudiant effectuent leurs études. Si 1 étudiant sur 4 vit sous le seuil de pauvreté au niveau national, c’est près de la moitié des étudiants de Limoges qui sont concernés par ce statut précaire.
Cette déclaration du Ministre de l’Enseignement Supérieur peut surprendre aujourd'hui. La baisse globale des APL, ajouté à la diminution du budget de l’enseignement supérieur de 331 millions d’euros, ne semble pas s’inscrire dans une dynamique positive quant à l'avenir des étudiants français.
La décision prise par le nouveau gouvernement semble donc en inadéquation avec le monde universitaire actuel, à l’heure ou la densification étudiante est en hausse. C’est en effet une hausse constante du nombre d’étudiant accueilli dans les universités qui est attendu pour les prochaines années ( + 30 000 en 2017).
Interview de Christophe Ragey, vice président Etudiant de l'Université de Limoges :
C’est dans ce contexte qu’intervient la baisse de 5€ annoncée par le gouvernement des Aides Pour le Logement.
Fustigeant le matraquage du monde étudiant, les associations représentants les Etudiants Limougeauds tiennent à rappeler les conditions déjà difficiles dans lesquelles la plupart des étudiant effectuent leurs études. Si 1 étudiant sur 4 vit sous le seuil de pauvreté au niveau national, c’est près de la moitié des étudiants de Limoges qui sont concernés par ce statut précaire.
« Nos jeunes sont notre avenir, nous leur devons un avenir »
Cette déclaration du Ministre de l’Enseignement Supérieur peut surprendre aujourd'hui. La baisse globale des APL, ajouté à la diminution du budget de l’enseignement supérieur de 331 millions d’euros, ne semble pas s’inscrire dans une dynamique positive quant à l'avenir des étudiants français.
La décision prise par le nouveau gouvernement semble donc en inadéquation avec le monde universitaire actuel, à l’heure ou la densification étudiante est en hausse. C’est en effet une hausse constante du nombre d’étudiant accueilli dans les universités qui est attendu pour les prochaines années ( + 30 000 en 2017).
Interview de Christophe Ragey, vice président Etudiant de l'Université de Limoges :