L'intermodalité : un enjeu stratégique pour la Nouvelle Aquitaine
Publié : 16 octobre 2017 à 16h36 par Denis Surfys
Pour le développement de la Nouvelle Aquitaine l’intermodalité va devenir dans les prochaines années un enjeu stratégique. Le CESER Nouvelle Aquitaine vient de remettre aux élus un rapport sur la mobilité.
Le but est de coordonner l’ensemble des différents types de transports à l’avantage de l’usager (Ter, rail, voiture, etc ...).
La région Nouvelle Aquitaine a décidé de coordonner l'ensemble des transports par l'intermédiaire d'un syndicat Mixte.
Il faut savoir que pour la mobilité locale (80 km autour du domicile), 65% des déplacements sont réalisés en voiture. Organiser l'intermodalité, c'est donner aux voyageurs la possibilité d'utiliser successivement différents modes de transports, publics ou non, au cours d'un même déplacement.
Entre le véhicule particulier et les réseaux de transport public, de nouveaux usages se sont développés, comme le covoiturage, l'autopartage, les vélos en libre service, etc ... qui devront être inscrits dans les stratégies intermodales.
Le plan d'action du CESER se décline en plusieurs parties :
L'intermodalité fonctionne déjà très bien en Gironde. En Limousin elle existe entre Brive et Tulle (TER et réseau urbain). A Limoges lorsque l'on arrive en car départemental il y a la possibilité d'avoir une correspondance gratuite dans un bus de la STCL de Limoges.
Le but est de coordonner l’ensemble des différents types de transports à l’avantage de l’usager (Ter, rail, voiture, etc ...).
La région Nouvelle Aquitaine a décidé de coordonner l'ensemble des transports par l'intermédiaire d'un syndicat Mixte.
Il faut savoir que pour la mobilité locale (80 km autour du domicile), 65% des déplacements sont réalisés en voiture. Organiser l'intermodalité, c'est donner aux voyageurs la possibilité d'utiliser successivement différents modes de transports, publics ou non, au cours d'un même déplacement.
"De nombreux usages à coordonner pour être efficace"
Entre le véhicule particulier et les réseaux de transport public, de nouveaux usages se sont développés, comme le covoiturage, l'autopartage, les vélos en libre service, etc ... qui devront être inscrits dans les stratégies intermodales.
Le plan d'action du CESER se décline en plusieurs parties :
- Proposer une offre de transport de qualité sur les territoires : les transports collectifs doivent être attractif avec une amélioration de l'offre (maillage, horaires, temps de parcours, de ponctualité).
- Faciliter le passage d'un transport à l'autre : un véritable défi. Il va falloir repenser à des conditions d'attentes et de sécurité satisfaisantes. Le Conseil Régional doit proposer, en lien avec les autres collectivités, un schéma global.
- Généraliser un titre de transport unique : Le CERSER propose un titre de transport unique qui autoriserait la libre circulation sur l'ensemble des réseaux de transport public (urbains, interurbains et ferroviaires).
- Organiser et diffuser l'information : Il faut que les usagers soient au courant des retards, des changements d'horaires, etc ... Les moyens : Internet, le téléphone et une application mobile.
- La région Pilote : il appartient au Conseil Régional d'organiser les conditions de développement de l'Intermodalité en associant l'ensemble des acteurs de la mobilité à l'échelle régionale et locale.
L'intermodalité fonctionne déjà très bien en Gironde. En Limousin elle existe entre Brive et Tulle (TER et réseau urbain). A Limoges lorsque l'on arrive en car départemental il y a la possibilité d'avoir une correspondance gratuite dans un bus de la STCL de Limoges.