Les salariés de l'AVEC toujours dans l'incertitude
Publié : 9 juin 2017 à 3h30 par Denis Surfys
Le futur des salariés de l’AVEC (Agence de valorisation de l’économie de la culture) est toujours incertain après l’annonce de la nouvelle Région d’arrêter de la subventionner. Pour les syndicats « cette décision n’a pas été préparée et n’a fait l’objet d’aucune concertation avec les salariés ».
Grâce à une lettre ouverte et une pétition d’acteurs culturels la région Nouvelle-Aquitaine a réagie en mettant en place un comité de suivi composé de personnels de la région des domaines de la culture, des affaires juridiques et des ressources humaines. Ce comité à pour objectif d’apporter des réponses sur le devenir des actions de l’AVEC ainsi que sur celui des salariés.
Il est envisagé que la gestion du parc de matériel soit reprise par une association de Saintes qui maintiendrait une antenne sur Limoges et reprendrait les 3 techniciens en place actuellement. L'agenda culturel et Géo Culture seraient intégrés dans une mission numérique à créer au sein de la région, avec le transfert de 5 salariés. Trois salariés pourraient intégrer la fonction publique territoriale à l'échelon C. Cela porterait le nombre de salariés repris à 11 sur les 18 actuels.
Grâce à une lettre ouverte et une pétition d’acteurs culturels la région Nouvelle-Aquitaine a réagie en mettant en place un comité de suivi composé de personnels de la région des domaines de la culture, des affaires juridiques et des ressources humaines. Ce comité à pour objectif d’apporter des réponses sur le devenir des actions de l’AVEC ainsi que sur celui des salariés.
"La pétition a réunie plus de 1 800 signatures"
Il est envisagé que la gestion du parc de matériel soit reprise par une association de Saintes qui maintiendrait une antenne sur Limoges et reprendrait les 3 techniciens en place actuellement. L'agenda culturel et Géo Culture seraient intégrés dans une mission numérique à créer au sein de la région, avec le transfert de 5 salariés. Trois salariés pourraient intégrer la fonction publique territoriale à l'échelon C. Cela porterait le nombre de salariés repris à 11 sur les 18 actuels.