Limoges candidate pour expérimenter la police de sécurité quotidienne
Publié : 30 octobre 2017 à 5h02 par Denis Surfys
Le 16 août dernier, le ministre de l’intérieur a annoncé sa volonté d’expérimenter une police de sécurité quotidienne, dès le début de l’année 2018. Le maire de Limoges s’est dit favorable pour que Limoges devienne l’une des villes pilotes de ce nouveau dispositif de sécurité.
La ville de Limoges a tissé des relations de confiance avec plusieurs partenaires afin de coordonner les actions de sécurité et de prévention de la délinquance menées sur son territoire.
Sur les 9 quartiers prioritaires que compte Limoges, 3 sont particulièrement sensibles : Beaubreuil, Val de l’Aurence et la Bastide. La compétence territoriale de ces deux postes s'étend sur plusieurs communes alentours, leurs effectifs sont très limités, ce qui limite fortement la présence de ces fonctionnaires dans le quartier.
Si les deux derniers disposent de commissariats de secteur, à Beaubreuil, le commissariat a été fermé en 2014. Ce qui génère un sentiment d'abandon pour les uns, d'impunité pour les autres, d'autant que ce quartier est le plus éloigné du centre-ville.
Après avoir mis en place une police municipale opérationnelle qui peut s'appuyer sur le centre de supervision urbain, le maire souhaite maintenant s’impliquer d’avantage dans la prévention de la délinquance. l'expérimentation de ce nouveau dispositif permettrait à la ville de renforcer la présence policière dans les quartiers prioritaires avec des policiers municipaux.
Emile Roger Lombertie demande également la réouverture du commissariat de police de Beaubreuil, en proposant éventuellement la mutualisation des locaux.
La ville de Limoges a tissé des relations de confiance avec plusieurs partenaires afin de coordonner les actions de sécurité et de prévention de la délinquance menées sur son territoire.
Sur les 9 quartiers prioritaires que compte Limoges, 3 sont particulièrement sensibles : Beaubreuil, Val de l’Aurence et la Bastide. La compétence territoriale de ces deux postes s'étend sur plusieurs communes alentours, leurs effectifs sont très limités, ce qui limite fortement la présence de ces fonctionnaires dans le quartier.
Si les deux derniers disposent de commissariats de secteur, à Beaubreuil, le commissariat a été fermé en 2014. Ce qui génère un sentiment d'abandon pour les uns, d'impunité pour les autres, d'autant que ce quartier est le plus éloigné du centre-ville.
"3 quartiers particulièrement sensibles"
Après avoir mis en place une police municipale opérationnelle qui peut s'appuyer sur le centre de supervision urbain, le maire souhaite maintenant s’impliquer d’avantage dans la prévention de la délinquance. l'expérimentation de ce nouveau dispositif permettrait à la ville de renforcer la présence policière dans les quartiers prioritaires avec des policiers municipaux.
Emile Roger Lombertie demande également la réouverture du commissariat de police de Beaubreuil, en proposant éventuellement la mutualisation des locaux.