Pétition "Amnistie" pour le comité de soutien aux Goodyear 87
Publié : 21 mars 2017 à 16h58 par Denis Surfys
Le comité de soutien aux Goodyear 87 est toujours mobilisé.
Crée en janvier 2016 après la condamnation de 8 salariés de l’entreprise d’Amiens pour des faits de séquestrations et de violences, le comité fort d’une quarantaine de sympathisants organise depuis, des actions pour sensibiliser le grand public sur la « répression dans le monde du travail ».
Ce décrivant comme une poche de résistance, comme le symbole d’une justice arbitraire, le collectif défend le droit de manifester. L’objectif est de rester vigilant et surtout de ne pas oublier les salariés de l’usine Goodyear d’Amiens qui ont été condamné simplement pour avoir manifesté alors que les plaintes avaient été retirées par la direction.
Le samedi 1er avril le collectif va organiser, place de la Motte à 15h, un rassemblement avant de défiler dans les rues de Limoges avec comme symbole une enveloppe géante. Le collectif a lancé une pétition en ligne demandant au président de la République d’amnistier les salariés.
Interview de Marie-Ange Bories :
Crée en janvier 2016 après la condamnation de 8 salariés de l’entreprise d’Amiens pour des faits de séquestrations et de violences, le comité fort d’une quarantaine de sympathisants organise depuis, des actions pour sensibiliser le grand public sur la « répression dans le monde du travail ».
Ce décrivant comme une poche de résistance, comme le symbole d’une justice arbitraire, le collectif défend le droit de manifester. L’objectif est de rester vigilant et surtout de ne pas oublier les salariés de l’usine Goodyear d’Amiens qui ont été condamné simplement pour avoir manifesté alors que les plaintes avaient été retirées par la direction.
Le samedi 1er avril le collectif va organiser, place de la Motte à 15h, un rassemblement avant de défiler dans les rues de Limoges avec comme symbole une enveloppe géante. Le collectif a lancé une pétition en ligne demandant au président de la République d’amnistier les salariés.
Interview de Marie-Ange Bories :