Plusieurs véhicules de gendarmerie incendiés à Limoges : un acte revendiqué
Publié : 19 septembre 2017 à 15h46 par Denis Surfys
Dans la nuit de lundi 18 à mardi 19 septembre, dans l’enceinte de la caserne Jourdan, 5 véhicules de gendarmerie ont été incendiés. Pour le moment l’origine de l’incendie n’a pas été déterminée mais la piste volontaire est étudiée. L'incendie serait d'origine volontaire car il a été revendiqué sur un tweet par "RAGE" (Révolte Anarchiste des gendarmes exilés).
Une enquête a d’ailleurs été ouverte par le parquet de Limoges. Sur twetter, un tract de revendication (non authentifié) a été posté. Les auteurs se présentent comme des « anciens gendarmes » de l’escadron de gendarmerie mobile 41/2 basé à Limoges. On peut y lire le détail des véhicules incendiés (3 fourgons de GM et 2 bus de gendarmerie stationné dans l'enceinte de la caserne Jourdan à Limoges).
Le tract fait référence aux véhicules incendiés mais aussi au procès qui débute, ce mardi 19 septembre, à Paris avec l’affaire de la voiture de police brûlée, en marge des manifestations contre la loi travail. Il fait également référence à la mort de Rémi Fraisse. "Depuis l'assassinat de Rémi Fraisse nous nous sommes réunis pour réfléchir ensemble sur le sens de notre métier de Gendarmes mobiles".
Le tract est signé R.A.G.E « Révolte Anarchiste des gendarmes exilés ».
Une enquête a d’ailleurs été ouverte par le parquet de Limoges. Sur twetter, un tract de revendication (non authentifié) a été posté. Les auteurs se présentent comme des « anciens gendarmes » de l’escadron de gendarmerie mobile 41/2 basé à Limoges. On peut y lire le détail des véhicules incendiés (3 fourgons de GM et 2 bus de gendarmerie stationné dans l'enceinte de la caserne Jourdan à Limoges).
"Des références à la mort de Rémi Fraisse"
Le tract fait référence aux véhicules incendiés mais aussi au procès qui débute, ce mardi 19 septembre, à Paris avec l’affaire de la voiture de police brûlée, en marge des manifestations contre la loi travail. Il fait également référence à la mort de Rémi Fraisse. "Depuis l'assassinat de Rémi Fraisse nous nous sommes réunis pour réfléchir ensemble sur le sens de notre métier de Gendarmes mobiles".
Le tract est signé R.A.G.E « Révolte Anarchiste des gendarmes exilés ».