Un déficit de 100 000€ pour le journal l'Echo qui lance un appel à la générosité
Publié : 6 septembre 2017 à 3h23 par Denis Surfys
Une nouvelle fois le journal l’Echo lance un appel à la générosité pour permettre le développement du quotidien et assurer sa survie. Le déficit avoisinerait les 100 000€, soit environ 8000€ par mois. La baisse des ventes et la baisse des parutions légales font chuter le chiffre d'affaire.
Les banques ne veulent plus suivre et refusent d'accorder un découvert.
Selon les dires du gérant et directeur de la publication (Olivier Mouveroux) : Votre soutien, en début d’année, a permis la réalisation de plusieurs dizaines d’abonnements. Alors que nous venons de réaliser un 2eme trimestre positif, notre trésorerie traverse toujours une zone de turbulence.
Nos ventes restent trop fragiles et la baisse des dotations de l’état aux collectivités n’est pas pour nous rassurer. Elles engendrent automatiquement des diminutions des investissements et par la même occasion celle des parutions d'annonces légales dans nos colonnes, qui représente à elle seule la baisse de notre chiffre d'affaires pour l'exercice en cours.
Les produits dérivés (hors séries) rencontrent un vrai succès, mais cela ne suffit pas à nous permettre d'équilibrer nos comptes sur le long terme. Les aides qui nous sont allouées, tant sur le plan postal, que pour la diffusion, risquent d'être amputée.
Pour l’heure l’Echo est encore dans la zone rouge, de laquelle il est difficile de s’extraire, en dépits d’efforts constamment renouvelés et de réduction drastiques de ses dépenses. L’exercice comptable va finir avec un déficit de 100 000€, soit environ 8000€ par mois . C'est à la fois peu et beaucoup . Peu si on rapporte ce montant au chiffre d'affaires annuel. Beaucoup car il se cumule avec des déficits précédents et que les banques refusent de nous accorder la moindre ligne de découvert.
Une nouvelle fois, l'existence de l'Echo est liée à votre soutien. Un nouvel appel aux dons a donc été lancé.
Les banques ne veulent plus suivre et refusent d'accorder un découvert.
Selon les dires du gérant et directeur de la publication (Olivier Mouveroux) : Votre soutien, en début d’année, a permis la réalisation de plusieurs dizaines d’abonnements. Alors que nous venons de réaliser un 2eme trimestre positif, notre trésorerie traverse toujours une zone de turbulence.
"Baisse des ventes et des dotations"
Nos ventes restent trop fragiles et la baisse des dotations de l’état aux collectivités n’est pas pour nous rassurer. Elles engendrent automatiquement des diminutions des investissements et par la même occasion celle des parutions d'annonces légales dans nos colonnes, qui représente à elle seule la baisse de notre chiffre d'affaires pour l'exercice en cours.
Les produits dérivés (hors séries) rencontrent un vrai succès, mais cela ne suffit pas à nous permettre d'équilibrer nos comptes sur le long terme. Les aides qui nous sont allouées, tant sur le plan postal, que pour la diffusion, risquent d'être amputée.
"L'Echo est toujours dans la zone rouge foncé"
Pour l’heure l’Echo est encore dans la zone rouge, de laquelle il est difficile de s’extraire, en dépits d’efforts constamment renouvelés et de réduction drastiques de ses dépenses. L’exercice comptable va finir avec un déficit de 100 000€, soit environ 8000€ par mois . C'est à la fois peu et beaucoup . Peu si on rapporte ce montant au chiffre d'affaires annuel. Beaucoup car il se cumule avec des déficits précédents et que les banques refusent de nous accorder la moindre ligne de découvert.
Une nouvelle fois, l'existence de l'Echo est liée à votre soutien. Un nouvel appel aux dons a donc été lancé.