Trois cafés gourmands : le groupe à écouter sans modération

En moins de quatre ans le groupe "Trois cafés gourmands" a su se faire une place dans le milieu très fermé des musiciens. Composé par trois amis d'enfance, la première composition "A nos souvenirs" a remporté un succès inattendu et immédiat auprès d'un public qui se veut joyeux et dansant. Le groupe s'est étoffé au fil des années. Rencontre, lors d'une répétition, avec Mylène Madrais, Sébastien Gourseyrol, Jérémy Pauly, Sébastien Bugeaud, Nicolas Ferreira et Yann Le Bleis (Trois cafés Gourmands) lors d'une répétition. Dès les premières minutes on ressent la bonne humeur et la complicité entre les membres du groupe. Au départ, deux guitares acoustiques, trois voix, trois amis et des chansons. Les textes parlent de la vie, du temps qui passe, de nostalgie mais surtout de plaisir et d'amour (très important pour ce trio).

"Travailler sérieusement sans se prendre au sérieux"

Rapidement le trio prend la route et se produit dans de nombreux bars et festivals. La "sauce" marche assez rapidement avec des fans, de toutes les générations, de plus en plus nombreux. la pub commence à se faire sur les réseaux sociaux mais aussi dans la presse locale. En 2016 le groupe décide de passer à l'étape supérieure avec l'arrivée de Sébastien Bugeaud à la batterie et de Nicolas Ferreira à la contrebasse qui donne une nouvelle couleur qui prend toute sa valeur sur scène. Fin 2016, le groupe est totalement au complet avec l'arrivée de Yann Le Bleis aux multiples talents. Trois cafés Gourmands est un mélange de chanson Française avec une touche de jazz manouche, de rock, de blues et de pop. Le groupe aime bien enregistrer en studio mais prend son ampleur sur la scène dans une ambiance festive mais aussi sensible. Au départ des amis d'enfance, le groupe a commencé en acoustique et voix. A part une reprise de Noir Désir le groupe évolue uniquement sur des créations. 2017 aura été une très bonne année pour le groupe qui n'a jamais rencontré de problèmes pour se produire sur scène. Interview de Mylène Madrais :