2 affaires de stupéfiants sur la Commune de Saint Laurent sur Gorre
Publié : 16 octobre 2018 à 16h42 par Denis Surfys
En l'espace de quelques jours, les gendarmes de Saint Laurent sur Gorre ont découverts deux plantations de cannabis. A chaque fois les "cultivateurs" ont expliqués que c'était pour leur consommation personnelle. Dans les deux cas, les mis en cause ont été identifiés et interpellés.
Le 12 septembre 2018, lors d'une surveillance, les gendarmes de Saint Laurent sur Gorre ont découvert une culture de 8 pieds de cannabis (dans un bois), sur la commune de Saint laurent sur Gorre. Pendant plusieurs semaines, une surveillance des lieux de la culture a été mise en place par les enquêteurs. Elle a finit par porter ses fruits avec l'identification du "cultivateur".
Le 16 octobre 2018, avec le concours d'une équipe cynophile (spécialisée dans la recherche de stupéfiants), une perquisition a été menée au domicile du "jardinier", un trentenaire, originaire du département de la Haute-Vienne. Cette opération a permis la découverte de 5 pieds de cannabis, de plusieurs fleurs de cannabis et feuilles en cours de séchage, d'une petite balance digitale, d'un grinder à herbes et de deux chambres de culture équipées de lampes chauffantes. L'ensemble a été saisi. Les pieds, les fleurs et les feuilles de cannabis ont été détruits.
Placé en garde à vue, le mis en cause a reconnu les faits, tout en expliquant cultiver le cannabis pour satisfaire sa consommation personnelle. Laissé libre à l'issue de sa garde à vue, il fait l'objet d'une convocation en justice le 11 avril 2019, devant le tribunal correctionnel de Limoges.
Le 12 octobre 2018, les gendarmes de Saint Laurent sur Gorre se sont présentés au domicile d'une résidente de la commune pour lui remettre un document. Ils ont aperçus dans le jardin contigu à l'habitation, la présence d'un pied de cannabis en culture. Une perquisition a été menée dans le jardin, elle a aboutie à la découverte de 9 pieds de cannabis. Placée en garde à vue et entendue sur les faits, la mis en cause, âgée d'une quarantaine d'années a expliqué se livrer à cette culture illicite pour subvenir à sa consommation personnelle. Elle sera convoquée devant la justice le 29 janvier 2019. Les pieds de cannabis ont été détruits.
Affaire n°1 :
Le 12 septembre 2018, lors d'une surveillance, les gendarmes de Saint Laurent sur Gorre ont découvert une culture de 8 pieds de cannabis (dans un bois), sur la commune de Saint laurent sur Gorre. Pendant plusieurs semaines, une surveillance des lieux de la culture a été mise en place par les enquêteurs. Elle a finit par porter ses fruits avec l'identification du "cultivateur".
Le 16 octobre 2018, avec le concours d'une équipe cynophile (spécialisée dans la recherche de stupéfiants), une perquisition a été menée au domicile du "jardinier", un trentenaire, originaire du département de la Haute-Vienne. Cette opération a permis la découverte de 5 pieds de cannabis, de plusieurs fleurs de cannabis et feuilles en cours de séchage, d'une petite balance digitale, d'un grinder à herbes et de deux chambres de culture équipées de lampes chauffantes. L'ensemble a été saisi. Les pieds, les fleurs et les feuilles de cannabis ont été détruits.
Placé en garde à vue, le mis en cause a reconnu les faits, tout en expliquant cultiver le cannabis pour satisfaire sa consommation personnelle. Laissé libre à l'issue de sa garde à vue, il fait l'objet d'une convocation en justice le 11 avril 2019, devant le tribunal correctionnel de Limoges.
Affaire n°2 :
Le 12 octobre 2018, les gendarmes de Saint Laurent sur Gorre se sont présentés au domicile d'une résidente de la commune pour lui remettre un document. Ils ont aperçus dans le jardin contigu à l'habitation, la présence d'un pied de cannabis en culture. Une perquisition a été menée dans le jardin, elle a aboutie à la découverte de 9 pieds de cannabis. Placée en garde à vue et entendue sur les faits, la mis en cause, âgée d'une quarantaine d'années a expliqué se livrer à cette culture illicite pour subvenir à sa consommation personnelle. Elle sera convoquée devant la justice le 29 janvier 2019. Les pieds de cannabis ont été détruits.