Charlie Hebdo : 5 ans après Limoges se souvient ...
Publié : 7 janvier 2020 à 16h45 par Denis Surfys
5 ans après les souvenirs sont intacts. Tout le monde se rappelle ce qu'il faisait le 7 janvier 2015. Tous les yeux étaient rivés sur les chaines infos. Le soir même un rassemblement spontané avait eu lieu, place de la République à Limoges, avant un défilé dans les rues de Limoges qui avait rassemblé près de 30 000 personnes. La Marseillaise avait retenti dans les rues de Limoges.
L'attentat contre Charlie Hebdo a été une attaque terroriste islamiste perpétrée le 7 janvier 2015 à Paris. Aux alentours de 11h30, les frères Kouachi ont pénétré dans les bâtiments abritant les locaux du journal, armés de fusils d'assaut, et ont assassiné froidement 11 personnes, dont 8 membres de la rédaction. Les victimes de la tuerie sont les dessinateurs Cabu, Charb, Honoré, Tignous et Wolinski, la psychanalyste Elsa Cayat, l'économiste Bernard Maris, le policier Franck Brinsolaro, le correcteur Mustapha Ourrad, Michel Renaud et Frédéric Boisseau qui assurait la maintenance du bâtiment. Les deux auteurs de la tuerie avaient été tués deux jours plus tard par les membres du GIGN.
Le soir même de l'attentat des citoyens s'étaient rassemblés spontanément place de la République à Limoges.
A Saint-Just-le-Martel énorme tristesse de la population et de Gérard Vandenbroucke qui avait côtoyé, grâce au Salon de presse et d'humour, la plupart des dessinateurs assassinés.
Frédéric Forte, président du Limoges CSP, avait voulu que le mouvement "Je suis Charlie" perdure. Il avait pris l'initiative de l'écrire sur les maillots des joueurs du Limoges CSP.
L'attentat contre Charlie Hebdo a été une attaque terroriste islamiste perpétrée le 7 janvier 2015 à Paris. Aux alentours de 11h30, les frères Kouachi ont pénétré dans les bâtiments abritant les locaux du journal, armés de fusils d'assaut, et ont assassiné froidement 11 personnes, dont 8 membres de la rédaction. Les victimes de la tuerie sont les dessinateurs Cabu, Charb, Honoré, Tignous et Wolinski, la psychanalyste Elsa Cayat, l'économiste Bernard Maris, le policier Franck Brinsolaro, le correcteur Mustapha Ourrad, Michel Renaud et Frédéric Boisseau qui assurait la maintenance du bâtiment. Les deux auteurs de la tuerie avaient été tués deux jours plus tard par les membres du GIGN.
Le soir même de l'attentat des citoyens s'étaient rassemblés spontanément place de la République à Limoges.
A Saint-Just-le-Martel énorme tristesse de la population et de Gérard Vandenbroucke qui avait côtoyé, grâce au Salon de presse et d'humour, la plupart des dessinateurs assassinés.
Frédéric Forte, président du Limoges CSP, avait voulu que le mouvement "Je suis Charlie" perdure. Il avait pris l'initiative de l'écrire sur les maillots des joueurs du Limoges CSP.