Des mesures après l'agression d'un agent de la TCL à Limoges
Publié : 17 septembre 2019 à 13h22 par Denis Surfys
Lundi 16 septembre 2019, aux alentours de 18h, un agent de la TCL a été agressé (sur la ligne 5) place Jourdan. Un individu qui n'avait pas de titre de transport n'a pas hésité à le frapper avant de s'enfuir. Ce mardi 17 septembre, à 4h50, à leur prise de service, les chauffeurs ont exercé leur "droit de retrait". La direction n'hésite pas à qualifier cet acte "d'agression".
Lundi 16 septembre 2019, un individu qui n'avait pas de titre de transport, a frappé (à coups de pied) un contrôleur de la TCL. Les faits se sont produits sur la ligne 5 à la Place Jourdan. La victime va bien mais elle est extrêmement choquée. Une plainte a été déposée dans la foulée au commissariat de police de Limoges. L'auteur des coups a été interpellé quelques minutes après les faits par la police rapidement sur les lieux. Il a été placé en garde à vue.
Ce mardi 17 septembre 2019, à 4h50 (à la prise de service), le personnel de conduite a exercé son "droit de retrait". Aucun bus n'est sorti du dépôt. Le trafic a repris progressivement aux alentours de 13h30.
A 8h une réunion a eu lieu avec les organisations syndicales et la direction. Cette agression a été "la goutte d'eau qui a fait déborder le vase". Il y a quelques jours, un autre chauffeur avait, lui aussi, été agressé à un arrêt. Cette répétition des incivilités ont eu lieu de manière assez rapproché alors que depuis 2014, elles sont en baisse, sur le réseau de 50%.
Pour Jean-Marie Lagedamon (président de la société des transports en commun de Limoges) : "On ne parle plus d'incivilité mais d'agression ! La mise en place de la vidéosurveillance dans tous les bus, la liaison permanente entre le chauffeur et le centre de régulation et la saisie quasi-immédiate des services de police nationale et municipale ont contribué à la baisse des incivilité de 50%, mais nous devons faire encore mieux".
A l'issue d'une réunion avec les syndicats des mesures ont été décidées. Relancer la formation des personnels sur les problèmes et organiser des interventions, en collaboration avec la police, pour apprendre à gérer les situations de conflits, adapter nos procédures internes en cas d'agression et lancer une étude pour renforcer les équipes de contrôle.
Lundi 16 septembre 2019, un individu qui n'avait pas de titre de transport, a frappé (à coups de pied) un contrôleur de la TCL. Les faits se sont produits sur la ligne 5 à la Place Jourdan. La victime va bien mais elle est extrêmement choquée. Une plainte a été déposée dans la foulée au commissariat de police de Limoges. L'auteur des coups a été interpellé quelques minutes après les faits par la police rapidement sur les lieux. Il a été placé en garde à vue.
"Aucun bus à Limoges"
Ce mardi 17 septembre 2019, à 4h50 (à la prise de service), le personnel de conduite a exercé son "droit de retrait". Aucun bus n'est sorti du dépôt. Le trafic a repris progressivement aux alentours de 13h30.
A 8h une réunion a eu lieu avec les organisations syndicales et la direction. Cette agression a été "la goutte d'eau qui a fait déborder le vase". Il y a quelques jours, un autre chauffeur avait, lui aussi, été agressé à un arrêt. Cette répétition des incivilités ont eu lieu de manière assez rapproché alors que depuis 2014, elles sont en baisse, sur le réseau de 50%.
Pour Jean-Marie Lagedamon (président de la société des transports en commun de Limoges) : "On ne parle plus d'incivilité mais d'agression ! La mise en place de la vidéosurveillance dans tous les bus, la liaison permanente entre le chauffeur et le centre de régulation et la saisie quasi-immédiate des services de police nationale et municipale ont contribué à la baisse des incivilité de 50%, mais nous devons faire encore mieux".
A l'issue d'une réunion avec les syndicats des mesures ont été décidées. Relancer la formation des personnels sur les problèmes et organiser des interventions, en collaboration avec la police, pour apprendre à gérer les situations de conflits, adapter nos procédures internes en cas d'agression et lancer une étude pour renforcer les équipes de contrôle.
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