Grève des pompiers : Accueil chaleureux de la population
Publié : 24 septembre 2018 à 3h38 par Denis Surfys
En colère contre leur direction et les décisions managériales les pompiers de Haute-Vienne ont envahis, samedi 22 septembre 2018 (à 11h), la rue Jean-Jaurès pour une opération séduction qui a reçue un accueil chaleureux du public venu en nombre pour les soutenir.
Le torchon brûle entre les soldats du feu et leur direction.
Que ce soit sur le terrain, chez les personnels administratifs ou dans le service santé, les pompiers estiment qu'ils sont en sous-effectif. Le Mouvement de grève a démarré le lundi 17 septembre 2018.
Pour Nicolas Corneloup, délégué FO : "On nous demande de faire des économies sur le personnel, que le budget ne peut pas être augmenté. Nous avons pleins d'idées pour faire des économies mais nous ne sommes pas écoutés. Les pompiers se disent en accord avec Jean-Claude Leblois (le président du Conseil Départemental de Haute-Vienne), mais les relations sont plus tendues avec le directeur départemental du SDIS87. Nous sommes actuellement dans un dialogue de sourd".
"Une enquête départemental a mis en évidence des dysfonctionnements dans la gestion individuelle d'alerte (GIA). ce système informatique génère des délais supplémentaires d'intervention. Il doit être le plus rapidement possible amélioré".
Jeudi une médiation doit être mise en place sous l'égide du préfet.
Le point sur la situation avec Nicolas Corneloup (FO) :
Le torchon brûle entre les soldats du feu et leur direction.
Que ce soit sur le terrain, chez les personnels administratifs ou dans le service santé, les pompiers estiment qu'ils sont en sous-effectif. Le Mouvement de grève a démarré le lundi 17 septembre 2018.
Pour Nicolas Corneloup, délégué FO : "On nous demande de faire des économies sur le personnel, que le budget ne peut pas être augmenté. Nous avons pleins d'idées pour faire des économies mais nous ne sommes pas écoutés. Les pompiers se disent en accord avec Jean-Claude Leblois (le président du Conseil Départemental de Haute-Vienne), mais les relations sont plus tendues avec le directeur départemental du SDIS87. Nous sommes actuellement dans un dialogue de sourd".
"Une enquête départemental a mis en évidence des dysfonctionnements dans la gestion individuelle d'alerte (GIA). ce système informatique génère des délais supplémentaires d'intervention. Il doit être le plus rapidement possible amélioré".
Jeudi une médiation doit être mise en place sous l'égide du préfet.
Le point sur la situation avec Nicolas Corneloup (FO) :