Incendie à la Caserne Jourdan : les investigations se poursuivent
Publié : 19 août 2018 à 9h34 par Denis Surfys
Suite à l'incendie survenu le 16 août 2018 d'une haie de thuyas contiguë à la clôture constituant l'enceinte de la caserne Jourdan, rue Victor Thuillat à Limoges, les investigations se poursuivent. Aux alentours de 4h, un incendie a détruit la haie sur une distance de 35 mètres.
Pour les enquêteurs, l'origine de cet incendie est ignorée et aucune piste n'est privilégiée.
L'alerte avait été donnée par un résident de la caserne. Un périmètre se sécurité avait été mis en place, le sinistre avait été rapidement circonscrit par les pompiers. Sous l'autorité du parquet de Limoges, une enquête judiciaire avait été ouverte et confiée à la brigade de recherche de Limoges. Les constations et les investigations sont toujours en cours.
Le mardi 19 septembre 2017, dans cette même caserne, un incendie volontaire avait détruit 3 fourgons et 2 bus de gendarmerie. Un tract anonyme était apparu sur Tweeter en donnant avec précision le nombre de véhicules incendiés. Le message évoquait également l'événement de la voiture de police brûlée du quai de Valmy à Paris. Ce message avait été signé par le groupe R.A.G.E. (Révolte Anarchiste des Gendarmes Exilés).
Pour les enquêteurs, l'origine de cet incendie est ignorée et aucune piste n'est privilégiée.
L'alerte avait été donnée par un résident de la caserne. Un périmètre se sécurité avait été mis en place, le sinistre avait été rapidement circonscrit par les pompiers. Sous l'autorité du parquet de Limoges, une enquête judiciaire avait été ouverte et confiée à la brigade de recherche de Limoges. Les constations et les investigations sont toujours en cours.
"Un autre incendie en septembre 2017"
Le mardi 19 septembre 2017, dans cette même caserne, un incendie volontaire avait détruit 3 fourgons et 2 bus de gendarmerie. Un tract anonyme était apparu sur Tweeter en donnant avec précision le nombre de véhicules incendiés. Le message évoquait également l'événement de la voiture de police brûlée du quai de Valmy à Paris. Ce message avait été signé par le groupe R.A.G.E. (Révolte Anarchiste des Gendarmes Exilés).