Limoges : Une centaine de personnes rendent hommage à Steve
Publié : 4 août 2019 à 15h22 par Denis Surfys
Samedi 3 août 2019, une centaine de manifestants a défilé dans les rues du centre-ville de Limoges pour rendre hommage à Steve Maïa Caniço, retrouvé mort dans la Loire le 29 juillet après une charge jugée "disproportionnée" des forces de l'ordre. Les Gilets Jaunes estiment que le jeune garçon a été victime, le 21 juin (lors de la fête de la musique) de "violences policières".
De l'avis de tous, "si la police avait bien fait son travail il n'y aurait pas eu de drame". Alors que les enquêtes pour éclaircir le décès de ce jeune Nantais ne sont pas encore terminées, partout en France des rassemblements ont eu lieu en mémoire de Steve. A Limoges le rendez-vous était prévu à 14h devant la préfecture de Haute-Vienne. Après une courte prise de parole et de nombreux cris à destination du ministre de l'intérieur "Castaner assassin, démission dès demain", le cortège a décidé de se rendre place d'Aine, devant le Palais de Justice.
Pour les Gilets Jaunes présents "depuis le 17 novembre, jour de lancement du mouvement, les forces de l'ordre abusent des matraques et des gaz lacrymogènes". Ils estiment que la répression policière à outrage est due aux actions d'un ministre de l'intérieur "nul". Il s'agit tout simplement d'une incompétence politique, si les policiers étaient mieux payés et moins sollicités inutilement, il y aurait moins de débordements.
De l'avis de tous, "si la police avait bien fait son travail il n'y aurait pas eu de drame". Alors que les enquêtes pour éclaircir le décès de ce jeune Nantais ne sont pas encore terminées, partout en France des rassemblements ont eu lieu en mémoire de Steve. A Limoges le rendez-vous était prévu à 14h devant la préfecture de Haute-Vienne. Après une courte prise de parole et de nombreux cris à destination du ministre de l'intérieur "Castaner assassin, démission dès demain", le cortège a décidé de se rendre place d'Aine, devant le Palais de Justice.
Pour les Gilets Jaunes présents "depuis le 17 novembre, jour de lancement du mouvement, les forces de l'ordre abusent des matraques et des gaz lacrymogènes". Ils estiment que la répression policière à outrage est due aux actions d'un ministre de l'intérieur "nul". Il s'agit tout simplement d'une incompétence politique, si les policiers étaient mieux payés et moins sollicités inutilement, il y aurait moins de débordements.
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