Un mineur interpellé après avoir tenté d'incendier des voitures
Publié : 10 avril 2019 à 3h01 par Denis Surfys
Le dimanche 7 avril 2019, aux alentours de 23h55, dans le quartier de la Bastide, un mineur a été interpellé après avoir tenté d'incendier des véhicules. Deux véhicules étaient dégradés, du produit inflammable a été retrouvé sur les lieux ainsi qu'un dispositif de mise à feu artisanal. L'auteur des faits, âgé de 17 ans, a été placé en garde à vue.
Le dimanche 7 avril 2019, aux alentours de 23h55, allée Manet à Limoges, la police est intervenue car deux individus dégradaient deux voitures stationnées sur la voie publique. Les deux auteurs étaient venus avec une Clio (sans plus de précisions). Rapidement sur les lieux les policiers confirmaient la présence de deux véhicules dégradés, dont un qui avait la fenêtre, côté passager avant, brisée. Une flaque de liquide inflammable a été retrouvée au sol, sous le véhicule. Dans cette flaque se trouvaient divers papiers et autre matières facilement inflammables avec un dispositif de mise à feu. La patrouille retrouvait devant le pare-choc de la première voiture un bidon contenant du carburant. Le second véhicule présentait également la fenêtre côté conducteur brisée, une flaque du même mélange jonchée le sol. Les deux habitacles étaient souillés de ce même produit inflammable.
A 0h10, les policiers en surveillance, constataient l'arrivée sur les lieux d'un individu qui se dirigeait directement vers la première voiture et se penchait, sur le sol, pour ramasser le dispositif de mise à feu artisanal, composé d'un bâton de bois avec une extrémité couverte de plastique. Il reculait d'un pas, pour s'écarter des vapeurs de carburants, avant de sortir de sa poche un briquet avec lequel il a enflammé le bâton qu'il a jeté ensuite sous la voiture.
L'individu a été rapidement interpellé. Agé de 17 ans, demeurant dans le quartier, il a été placé en garde à vue alors qu'un autre équipage s'occupait d'éteindre les flammes. Au cours de son audition, le mis en cause, reconnaissait les faits, tout en déclarant, qu'il avait été dans l'obligation de la faire sous l'influence d'un "grand" du quartier, à qui il devait de l'argent. Une version remise en cause par les enquêteurs.
A l'issue de la prolongation de sa garde à vue, le magistrat de permanence décidait d'une convocation devant le Juge des Enfants pour le mois de Mai 2019 en vue de sa mise en examen.
Le dimanche 7 avril 2019, aux alentours de 23h55, allée Manet à Limoges, la police est intervenue car deux individus dégradaient deux voitures stationnées sur la voie publique. Les deux auteurs étaient venus avec une Clio (sans plus de précisions). Rapidement sur les lieux les policiers confirmaient la présence de deux véhicules dégradés, dont un qui avait la fenêtre, côté passager avant, brisée. Une flaque de liquide inflammable a été retrouvée au sol, sous le véhicule. Dans cette flaque se trouvaient divers papiers et autre matières facilement inflammables avec un dispositif de mise à feu. La patrouille retrouvait devant le pare-choc de la première voiture un bidon contenant du carburant. Le second véhicule présentait également la fenêtre côté conducteur brisée, une flaque du même mélange jonchée le sol. Les deux habitacles étaient souillés de ce même produit inflammable.
"Interpellé après avoir tenté d'incendier des véhicules"
A 0h10, les policiers en surveillance, constataient l'arrivée sur les lieux d'un individu qui se dirigeait directement vers la première voiture et se penchait, sur le sol, pour ramasser le dispositif de mise à feu artisanal, composé d'un bâton de bois avec une extrémité couverte de plastique. Il reculait d'un pas, pour s'écarter des vapeurs de carburants, avant de sortir de sa poche un briquet avec lequel il a enflammé le bâton qu'il a jeté ensuite sous la voiture.
L'individu a été rapidement interpellé. Agé de 17 ans, demeurant dans le quartier, il a été placé en garde à vue alors qu'un autre équipage s'occupait d'éteindre les flammes. Au cours de son audition, le mis en cause, reconnaissait les faits, tout en déclarant, qu'il avait été dans l'obligation de la faire sous l'influence d'un "grand" du quartier, à qui il devait de l'argent. Une version remise en cause par les enquêteurs.
A l'issue de la prolongation de sa garde à vue, le magistrat de permanence décidait d'une convocation devant le Juge des Enfants pour le mois de Mai 2019 en vue de sa mise en examen.