Limoges : La Région Nouvelle-Aquitaine toujours aux côtés des Lycées

« C’est une rentrée particulière. » Cette phrase, nombreux ont été ceux à l’entendre, à quelque niveau que ce soit. Il n’y a pas eu d’exception ce mercredi 8 septembre 2021, lors de la visite de Jean-Louis Nembrini. Vice-président de la Région Nouvelle-Aquitaine en charge de l’éducation, il se déplaçait dans le lycée Suzanne Valadon de Limoges, dans lequel la région a investi pas moins de 2,3 millions d’euros pour différents travaux d’aménagements.

« Il y a plusieurs sortes d’aménagements au lycée Valadon. L’un des derniers a été un aménagement de sécurité, à savoir une grille qui a été posée sans remettre en cause l’architecture générale de l’établissement, et qui en même temps le protège.

Le 2e gros aménagement, dont nous sommes fiers, c’est l’accessibilité pour les élèves notamment en fauteuil. On a pu voir les rampes d’accès, les ascenseurs, ou encore les aménagements de l’infirmerie, pour que tout le lycée soit accessible aux jeunes handicapés, y compris une place de parking pour la voiture d’un étudiant.

Evidemment, la Région investit dans les bâtiments pour les rendre plus compatibles avec la lutte contre le Changement Climatique. »

Une rentrée en présentiel

Par ailleurs, cette visite a été l’occasion de se rendre compte du travail réalisé par les différents agents au sein de l’établissement, afin de faire respecter les gestes barrières, ainsi que les différentes mesures sanitaires en vigueur. Une 2e rentrée en période de crise COVID forcément particulière, d’autant qu’elle signe également le retour de la totalité des étudiants dans le lycée.

« Elle est particulière parce qu’on n’est pas au bout de la COVID et qu’il faut qu’on fasse tout pour que les jeunes dans les lycées soient vaccinés. Le Conseil Régional appuie un maximum cette campagne de vaccination qui est notre protection à tous. Ça, c’est l’extraordinaire.

L’ordinaire, c’est que nous accueillons tous les lycéens, avec un protocole sanitaire maintenu. Il faut maintenir les gestes barrières partout, mais cependant tous les accueillir. Ça ne se passe pas si mal. On a des aménagements, notamment dans les lieux sensibles comme la demi-pension. J’ai également rencontré les agents de la région pour m’assurer que la question de l’entretien ne posait pas de problèmes dans ce contexte. »